< Les vivants à l'abri, L'Ours blanc # 12, éditions Héros-Limite, 2016 >

Comme son titre l’annonce, ce texte voudrait mettre « les vivants à l’abri». Reste à savoir comment reconnaître un vivant d’un mort, et saisir la nature de la menace qui justifierait la construction d’un abri. Le texte se donne comme seul point de départ (et de retour continuel) une photographie montrant deux femmes de dos face à la mer. Sortie d’un album familial, cette image est vouée à l’indifférence jusqu’à ce que des circonstances particulières ne la fasse apparaître comme la seule encore capable de délivrer du sens.
Recherche